Peurs et inquiétudes disparaissent au lac...

Agnès, peu après l'épisode dans sa salle commune, était venu près du lac pour pouvoir se ressourcer. Elle ne savait comment, mais la présence de l'eau à ses côtés avait toujours été bénéfique pour la jeune fille. La Serpentard s'assit donc au bord, et mit ses pieds dans l'eau. Tout d'un coup, elle se mit à pleurer.

Après quelques minutes - ou quelques heures - ses larmes se tarirent. Agnès les essuya d'un revers de la main. Tout d'un coup, la jeune fille se sentait oppressée. La Serpentard avait besoin d'eau, et vite...

Dans un ultime espoir de libération, Agnès plongea dans l'eau et tout se suite, elle se sentit mieux. L'eau avait beau être glacée, la jeune fille se sentait beaucoup mieux. Bien, même. La Serpentard resta donc dans l'eau pendant ce qui lui semblait de longues heures...

Messages : 107 Date d'inscription : 27/01/2012 Age : 27

Je marchais en direction du lac ( c'est ici que je fait mes plus beaux chefs d'oeuvres en poésie) avec mon cartable à la main lorsque je vis une silhouette dans l'eau. Je marcha encore plus vite et je découvrit Agnès. Je couru vers la serpentard en laissant mon cartable se jeté brusquement au sol et lui demanda:
- Est-ce que tout va bien?
Nous étions en hiver et elle se jeta dans un lac? non! Elle n'aillait pas bien.
En attendant sa réponse je aida a sortir.

Un bruit sourd. Des bruits de pas inquiets à n'en plus finir. Et enfin, une voix fluette.

- .... bien ?

La détentrice de cette voix plongea une de ses mains dans l'eau, et tenta d'hisser Agnès, endormi et en transe. La jeune fille fut à moitié sur le rivage, sess jambes toujours dans l'eau glacée. Elle ouvrit les yeux brutalement, et commença à manquer d'air.

- De l'air.... L'air !... suffoqua-t-elle, mal en point.

Messages : 107 Date d'inscription : 27/01/2012 Age : 27

Lorsque je la sorti de l'eau, je la vit à moiter morte. J'ai pris peur, peur de la perdre. Alors je tenta la technique de réanimation cardiaque et le bouche-à-bouche en même temps.Elle se réveilla et elle disait:
- De l'aire.....l'aire...!
Lorsque j'ai vu qu'elle était seine et sauf, je couru prendre une couverture. environ un demi-heure plus tard j'arriva et elle était toujours là fiou. Je lui donna cette couverture et peu de temps après, lorsqu'elle repris complètement ses esprits je la gifla.
- As-tu perdue la tête! lui cria-je.Tu aurais pu mourir tu sais ça! Avais tu penser à se que ressentirait Armondo s'il t'aurais vu étendu par terre dans le lac en train de flotter, morte? Et as-tu penser se que ressentirait tout le monde ici i compris moi? Et si tout va mal tant que ça parle en fait quelque chose mais ne meure pas. J'ai eue tellement peur de te perdre.

Et je partie a pleurer tout les larmes de mon corps.

Malgré le fait que le corps d'Agnès allait mal, son esprit, lui, était parfaitement clair. Ce fut donc avec un gros gémissement qu'elle dût supporter le bouche-à-bouche d'une jolie blonde. Néanmoins, malgré cet ultime sacrifice, elle sentit son organisme se réoxygéner. Elle inspira bruyamment, avant de se lever à demi. Elle prit d'énormes bouffées d'air, car son corps en manquait cruellement. La blonde partit un instant (cela sembla être cinq minutes pour la Serpentard...) et revint avec une couverture. En effet, la jeune fille grelottait, et ses vêtements étaient complétement trempés. Elle s'emmitoufla dans la couverture de laine beige, et tenta de se réchauffer. Elle leva la tête vers sa sauveuse pour la remercier... et reçut une baffe magistrale.
Agnès n'eut même pas le temps de crier "Aïe !" que la blonde se mettait à lui crier dessus.

- As-tu perdue la tête ! Tu aurais pu mourir, tu sais ça ! Avais-tu penser à ce que ressentirait Armondo s'il t'aurais vu étendu par terre dans le lac en train de flotter, morte ? Et as-tu penser à ce que ressentirait tout le monde ici, y compris moi ? Et si tout va mal tant que ça parle en fait quelque chose mais ne meure pas. J'ai eue tellement peur de te perdre, termina-t-elle dans un sanglot.

La jolie blonde baissa la tête, et Agnès reconnut alors Doris Bienaimée, la charmante nouvelle de gryffondor. Agnès fut frappé par l'incroyable exactitude de ses mots. Au fait, au départ, elle avait juste voulu se baigner, mais ne s'était pas rendue compte qu'elle coulait... Heureusement que Doris avait été là ! Prise d'un élan de compassion, elle prit la jeune fille dans ses bras grelottants, et lui murmura :

- Merci.

Ce simple mot voulait tout dire. Elle remerciait la Gryffondor de l'avoir sauvée, de l'avoir ouvert les yeux, et de l'avoir aidé...

Messages : 107 Date d'inscription : 27/01/2012 Age : 27

Après avoir sangloter je sentie la serpentard m'enlacer et me dire *merci*. Pour moi se mot voulait tout dire. Je lui répondit:
- Cet épisode restera entre nous, Je te donne ma parole.
Je réalisa que j'avais jeter mon cartable dans la neige. Je couru pour voir si il allait bien. Se cartable renfermait tout mes secrets, mes émotion, mon passé. Mon cartable était correcte il y avait un petite peu de neige dedans mais rien de grave. Je m’assis à côté d'Agnès et je commença à écrire. Écrire quoi? Je ne sais pas car ma main écrit tout seul.

Le message était passé. Doris s'écarta un peu, et Agnès soupira de soulagement. Elle se sentait toute... bizarre. Secrètement, elle espérait que personne ne sache ce qui s'est produit. Apparemment, la Gryffondor dût lire dans ses pensées car elle dit :

- Cet épisode restera entre nous, je te donne ma parole.

Agnès sourit de soulagement. Doris comprenait vraiment tout, et cela la soulageait. Elle se leva, et manqua de trébucher à cause de la couverture trop longue. Elle accompagna la blonde à son cartable, et la vit s'asseoir pour écrire. Curieuse, Agnès s'assit à côté d'elle et lui demanda :

- Tu écris souvent, comme ça ? Sans vouloir paraitre indiscrète, bien sur... rajouta-t-elle, consciente de sa curiosité.

Messages : 107 Date d'inscription : 27/01/2012 Age : 27

Agnès était à côté de moi et me demanda:
- Tu écris souvent, comme ça ? Sans vouloir paraitre indiscrète, bien sur.
Je lui répondit:
- Oui au moins deux fois par jours une peu le matin et je vient ici le soir car je trouve cet endroit calme. C'est aussi une sorte de libération lorsque tu as trop de chose dans la tête et tu ne sais pas à qui parler C'est comme mon ami. Si tu veux jeter un coup d'oeil et bien va-y.
Je lui passa mon cartable. C'était la seule à qui je me sentait vraiment a l'aise pour dire ça et je ne sais vraiment pas pourquoi. Avant de lui passer je lui dit:
Avant que je te le passe je te préviens il y a des choses sombre là dedans.

Doris expliqua à Agnès qu'elle venait ici le soir pour écrire, la jeune fille enregistra l'information, car si jamais elle avait un problème, elle pourrait aller la voir. Aussi fut-elle très surprise lorsque la gryffondor lui passa son carnet secret, tout en lui prévenant des choses "sombres" qu'elle y avait écrites. Agnès tenait le gros carnet dans ses mains, n'y croyant pas. Elle leva les yeux vers la blonde, et lui demanda :

- Tu es sure ?

Et sans attendre sa réponse, elle ouvrit le carnet soigneusement. Il était très personnalisé, très original aussi. Beaucoup de dessins, ainsi que de nombreux poèmes se retrouvaient à l'intérieur. Beaucoup d'allusions à son père aussi, comme si il lui était arrivé quelque chose. Les poèmes étaient magnifiquement bien rimés, et rythmaient la vie de tout les jours de Doris. Et puis, plus récent, il y avait un poème sur l'amour qu'elle portait pour Armondo. Agnès sourit en lisant ce passage : c'était l'effet que faisait son frère auprès de toutes les filles.
Lorsque la Serpy arriva à la fin, elle n'eut pas le courage de fermer ce carnet. Une multitude de questions se bousculaient dans sa tête, aussi laissa-t-elle passer une seule :

- Tu dois écrire depuis longtemps... En plus tes poèmes sont magnifiques ! Tu as un véritable don... Mais dis-moi, qu'est-ce qui est arrivé à ton père ?

Un extrait des superbes poèmes de Doris <3 ::

Messages : 107 Date d'inscription : 27/01/2012 Age : 27

La jeune serpentard s'empressa d'ouvrir le carnet. Même si je me souvenu que j'avais écrit un poème sur Armondo à cause du bal, je m'étais décidé que Agnès et qu'elle pouvait savoir tout. Je ne sais pas pourquoi mais c'était comme ça. Perdu dans mes penser, j'entendi Agnès dire:
- Tu dois écrire depuis longtemps... En plus tes poèmes sont magnifiques ! Tu as un véritable don... Mais dis-moi, qu'est-ce qui est arrivé à ton père ?

Je soupira et je lui dit:
-Oui ça fait depuis que je sais écrire ou presque que j'écris dans se cartable. Et Mon père.....(Moment de silence) Il s'est suicider lorsque j'avais 10 ans. Mais je le détestais de tout mon coeur. À tout les jours, mais tout les jours il arrivait saoul à la maison. Il criait toujours après ma mère et il inventait toutes sorte d'excuses pour se saouler.Je l'ai dit à ma mère plusieur fois mais elle était aveuglerpar l'amour qui la rongeais de l'interieur comme si elle voulait qu'il change de lui même. Mais un jour il tua un piéton car il conduisait saoul et il s'est pendu en prison. Et serieusement ça m'était complètement égale.
Je vit la colère monter en moi je pris une grande respiration et j'était correcte.

Agnès observa Doris soupirer et répondre malgré elle :

- Oui ça fait depuis que je sais écrire ou presque que j'écris dans ce cartable. Et Mon père..... Elle s'arrêta un instant, et Agnès redouta la suite. Il s'est suicidé lorsque j'avais 10 ans. Mais je le détestais de tout mon coeur. Tout les jours, mais vraiment tout les jours il arrivait saoul à la maison. Il criait toujours après ma mère et il inventait toutes sorte d'excuses pour se saouler. Je l'ai dit à ma mère plusieurs fois mais elle était aveuglée par l'amour qui la rongeais de l'interieur comme si elle voulait qu'il change de lui même. Mais un jour il tua un piéton car il conduisait saoul et il s'est pendu en prison. Et serieusement ça m'était complètement égal.

Aussitôt, Agnès baissa la tête, et se sentit coupable d'avoir posé cette question. Elle posa ses yeux turquoises fluctuants sur ceux bleu ciel de Doris, et lui murmura :

- Mon Dieu. Cela a dû te hanter longtemps, cette histoire. Tu ne méritais pas un père comme ça, non. Tu vaut beaucoup mieux que ça... finit-elle dans un sourire qui se voulait rassurant.

Messages : 107 Date d'inscription : 27/01/2012 Age : 27

J’enlaçais Agnès en lui chuchotant:
- La vie de mes amis est aussi importante que celle de ma mère ou de ma soeur car il sont toujours là lorsque j'ai besoin d'eux et c'est réciproque.

J'avais tellement le gout de rajouter si tu me refais ça encore une fois je te sauve et je te tue ensuite. mais je me suis abstenue.
Mais je rajouta:
-Si tu te sens mal, quelque chose ne va pas je suis là pour toi tu sais où me trouver soit ici ou ma chambre n'est pas très loin alors.... Ne me refais plus jamais un coup pareil. Je t'aime et je ne veux pas te perdre car tu es mon amie.

Le sourire d'Agnès se mua en un hoquet de surprise lorsque Doris l'enlaça et lui murmura doucement :

- La vie de mes amis est aussi importante que celle de ma mère ou de ma soeur car il sont toujours là lorsque j'ai besoin d'eux et c'est réciproque.

Agnès finit par sourire. La Gryffondor était très gentille, et comprenait vraiment tout. C'était rassurant pour la jeune fille qui se sentait un peu... abandonné, ces derniers temps. Elle donna quelques tapes sur le dos de la jeune blonde, avant de se dégager de son étreinte. Doris rajouta :

- Si tu te sens mal, quelque chose ne va pas je suis là pour toi tu sais où me trouver soit ici ou ma chambre n'est pas très loin alors.... Ne me refais plus jamais un coup pareil. Je t'aime et je ne veux pas te perdre car tu es mon amie.

Agnès mit sa main sur son coeur, et jura de ne plus jamais recommencer. Elle finit par sourire, et dit :

- Je suis très contente de t'avoir comme amie, tu sais ça ?

Puis, comme elle grelottait depuis un moment, elle lui demanda :

- Ça te dirait de m'accompagner à l'infirmerie pour voir si je vais bien ? Parce que depuis que je me suis coincée la cheville dans les escaliers, j'ai peur que ma cheville ne me refasse mal. Elle remarqua ses vêtements trempés, et rajouta avec un ricanement : il faudrait aussi que je songe à me changer !

Messages : 107 Date d'inscription : 27/01/2012 Age : 27

Je fit un sourire et l'accompagna à l'infirmerie car elle était aussi trempé et je n'avais pas penser à ses vêtements.
Je lui dit sérieusement:
- regarde sur toi si un de tes membres est noir parce que si c'est le cas tu va le ou les perdre à cause du froid.

Pendant qu'Agnès marchait en compagnie de Doris, celle-ci lui demanda si un de ses membres n'étaient pas noirs. Surprise par sa question, la Serpy s'observa sous tout les angles. Heureusement, il n'y avait que son bras gauche qui avait un teint légèrement violacé. Mais ayant tout de même peur, celle-ci se mit à courir pour aller à l'infirmerie.

- Mon Dieu, j'espère que Pomfresh pourra m'aider...

[On continue dans l'infirmerie ? ^^]

Messages : 107 Date d'inscription : 27/01/2012 Age : 27

Je vis Agnès courir en direction de l'infirmerie en disant:
- Mon Dieu, j'espère que Pomfresh pourra m'aider..
Je commença à rire.
- Mais attend moi quand même