Le départ vers un nouvelle avenir...ou pas

J'attendais ma mère dans le Hall. Je portais l'uniforme de Beauxbâtons, mes couettes étaient basse, vu que je portais un chapeau, et des rubans bleus avaient pris la place des rouges

Adieu, Poudlard...

Je serrais ma valise contre moi

-Attends Morgane!

Je ne veux pas que tu partes!

Soudain, je lui ai embrassé sur la bouche.

J'étais surprise, je ne m'attendais pas à ça, venant de lui

Pourquoi tu fais ça ?

-Parce que je t'aime.

Je lui fit un gros calin.

Tu dis ça, mais tu as failli aller au bal avec une autre !

Je reculai

-Avec qui d'autre?

Il n'y a que toi avec qui je veux aller au bal.

Il y a ma soeur mais on ne s'entends pas bien.

Alors tu vois?

Je l'embrassais de nouveau sur la bouche.

Mais oui...

Je le repoussais doucement

-Pourquoi tu me repousses?

Tu m'aimes ou pas?

Je dirais que c'est une question très difficile.

Je...je ne sais plus

-Comment ça tu ne le sais plus?

J'en suis sur que tu le sais mais tu me le cache

Je dois partir...

Je pris ma valise

-ATTENDS!!!!!!!

TU NE VAS PAS PARTIR!!!!!!!!!

Je prenais contrôle de Morgane.

Lâche moi !!

Je mis ma mains sur ses épaules et je dis:

-Tu vas pas quitté poudlard ou sinon...

Je ne termina pas ma phrase.

Arrête !!

-OU SINON JE TE DETESTERAI A VIE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je la secoua par les épaules, furieux.

Je le repoussai, et me mis à pleurer. Je pris ma valise et attendit que la porte s'ouvre

Doris courait plus vite que la lumière. En effet, elle avait cherché partout dans le château Morgane, avant qu'une de ses collègues ne lui informe que la Gryffondor se trouvait dans le Hall.

La Professeure arriva enfin auprès de Morgane. Elle souffla un peu, n'étant pas habitué à courir comme une malade. Puis, Meliflua déposa la cage contenant la chouette sur la valise de la Gryffondor.

- Tenez, jeune fille. C'est un cadeau.

Puis, ne retenant plus ses larmes, Doris serra dans ses bras son élève préférée. Elle se redressa un peu, de sorte à ce qu'elle puisse lui chuchoter à l'oreille ces quelques mots :

- Où que tu ailles, sache que ta place est, et restera toujours ici. murmura-t-elle en désignant le coeur de la jeune Gryffondor.

Puis, Doris se releva, et attendit que la mère de Morgane arrive.

Pendant que le professeur Meliflua me serrait dans ses bras, mes pleurs se calmèrent. Je souriais, en regardant la chouette posé sur ma valise

Merci...pour tout

Agnès courait. Elle venait tout juste d'apprendre que sa meilleure amie partait. La jeune fille ne savait pas pourquoi, mas essayerait de la retenir autant qu'elle pouvait.

La Serpentard arriva enfin auprès de Morgane. Elle était déjà accompagnée par Doris - qui avait bien rempli sa mission - et par Armondo, furieux. Agnès s'approcha de la Gryffondor et la serra dans ses bras, tout en respirant très fort.

Agnès ? Tu vas mieux ?

Je la serrais dans mes bras, quand je vis ma mère arriver

Je doit partir...

Agnès acquiesça. Oui, elle allait mieux. Mais elle risquait d'être pire que morte si son amie partait !! La Serpentard laissa échapper une larme, et serra une dernière fois dans ses bras Morgane, triste.

Allez, ne sois pas triste, on se verra au vacances, et je t'enverrai des lettres

Je la serrai contre moi

Là, Agnès ne put retenir sa fureur.

- Comment veut-tu que je ne sois pas triste, hein ?! Tu pars sans même me dire au revoir, sans même me prévenir, et tu veut que je ne sois pas triste ?!

J'ai reculé

Pardonne moi...

Je commençais à courir vers ma mère