Bureau du Professeur Barnton (veuillez essuyer vos pieds avant d'entrer, surtout si vous êtes moldus d'origine...)

Visite :

Le Professeur de Barnton avait accompagné les élèves de Serpentard de première année devant une porte assez étroite... Il avait tenu à leur montrer son bureau situé à quelques pas de leur dortoir, au cas où ils auraient un problème.

- Je compte sur vous pour indiquer ce chemin à vos camarades des autres maisons, pour qu'ils puissent eux aussi venir me voir s'ils ont des suggestions ou des problèmes de devoir. C'est ici que je vous recevrai si vous faites quelques idioties.
Soyez rusé et ne vous faites pas prendre quand vous charriez vos camarades, c'est la clé de la réussite Serpendienne. hmm hmm...

Le professeur ouvrit la mince porte et invita les élèves à entrer à l'intérieur...

Les élèves semblaient ne pas être rassurés dans cette pièce assez sombre et remplie d'objets mystérieux en tout genre... Il y avait des fioles, des chaudrons, des étagères mal rangés, des livres étalés partout, bref, le bazar. Il faut dire que le Professeur n'avait jamais été très soigneux...
Honteux, il fit sortir précipitamment les élèves, puis dit d'un ton pressé :

- Bon eh bien vous connaissez le chemin, passez me voir quand vous voulez mais il se peut que je sois absent quelques fois... Retournez dans vos dortoirs maintenant, il se fait tard...

Agnès, suite à la convocation de son Professeur, s'était dirigée d'un pas assez trouble vers le bureau. Elle s'attendait à y voir des livres glauques parlant de magie noire, des fioles au contenu mortel, et bien d'autres choses encore.
Prenant son courage à deux mains, la Serpy toqua à la porte du bureau. Puis, elle ouvrit la porte, laissant apercevoir sa tête. D'une voix légèrement tremblante, elle demanda à son Professeur :

- Je ne vous dérange pas, j'espère ?

En attendant la réponse de De Barnton, la jeune fille se mit à observer la salle. Heureusement, rien de ce qu'avait imaginé Agnès ne se trouvait dans cette pièce. A moins qu'il n'ait caché tout cela dans ses étagères en ébène, aux vitres opaques.
Malgré tout cela, la pièce était très mal rangée, et cela donnait une certaine ambiance dans la salle bizarre.

- Je ne vous dérange pas, j'espère ?

Le Professeur, occupé à corriger le devoir de Morgane Stevens, ne leva la tête que quand il s'aperçut qu'on lui adressait la parole. Le sourire aux lèvres, il se rappella soudain qu'il avait demandé à Miss Flint de le voir dans son bureau. D'un air désolant, il répondit :

- Bien sur que vous ne me dérangez pas, je vous ai même appellé !! Rolling Eyes

Bref, je vous ai convoqué juste pour vous dire que vous devrez faire attention à vous, la prochaine fois. Que je ne vous y reprenne plus. Disposez, maintenant.

Il avait déclaré tout cela d'un seul coup, laissant Flint debout, incrédule devant la rapidité de son Professeur. Puis, décidant d'oublier sa discussion, De Barnton baissa la tête, se remettant au travail.

- Bien sur que vous ne me dérangez pas, je vous ai même appellé !! Bref, je vous ai convoqué juste pour vous dire que vous devrez faire attention à vous, la prochaine fois. Que je ne vous y reprenne plus. Disposez, maintenant.

La gorge serré par cette convocation inutile, la jeune fille se retourna d'un coup sec, et murmura d'une voix étoufée, mais en colère :

- Très bien. Au revoir, Monsieur.

Agnès ouvrit la porte et s'en alla vite fait, ne pouvant plus supporter cette pièce oppressante.

Après l'heure de cours sur la potion pour soigner les furoncles, De Barnton s'était hâté vers son bureau, se rendant compte qu'il devait vérifier si sa Pensine était bien là où il fallait. Très stressé à l'idée qu'il l'ait perdu, il fouilla, créant ainsi un bazar pas possible dans la Salle. Cependant, il oublia qu'il avait convoqué Flint et Stevens...

Je coura vers le bureau de De Barton, bien sûr j'avais 40 minutes de retard.

-Bonjour!

Je suis désolé d'arriver aussi tard mais voilà.

Alors qu'est que qui ce passe?

Vous m'avez convoqué.

J'ARRIVE, J'ARRIVE !!!!!

Je courrais comme une folle, j'étais en retard

Pourquoi je suis convoqué, Monsieur ?

-Ha!

Morgane!

Toi aussi tu es en retard?

Après avoir parlé, je détourna mon attention à Willy De Barton.

Willy était en-dessous de son bureau en train de voir s'il n'avait pas cacher sa Pensine en-dessous, lorsqu'il fut interrompu par des bruits de pas essoufflés, et des paroles inintelligibles. Il releva sa tête, et sa bouche forma un "O" ahuri. Mince alors ! Il avait to-ta-le-ment oublié ses convocations !!

Il se releva, comme si de rien n'était, et s'épousseta rapidement en toussant avant de s'asseoir sur son bureau rempli d'affaires en tout genres. Il sourit comme un idiot, avant d'enlever brutalement toutes ses affaires en les balançant par terre. Lorsqu'ils fut enfin prêts, il invita ses deux élèves à s'asseoir, puis il prit la parole :

- Euh... Oui, je vous ai bien convoqué.

Le pauvre Professeur était totalement perdu, et ne se souvenait même plus de la raison de sa convocation ! Il fouilla sa mémoire, en espérant que les deux wizigoths qui se trouvait en face de lui le lui dirait...

-Hum, dèsolé, même si je ne sais pas pourquoi.

J'avança d'un petit pas vers Willy De Barton.

C'est parce qu'on a fais le bor...le bazar pendant votre cours, c'est ça ?

Je me mis bien en face de son bureau

Willy regardait tour à tour ses deux élèves, sans trop savoir quoi faire. Bien évidemment, Armondo rajouta un petit commentaire débile avant d'avancer timidement. Le Professeur soupira. Pendant ce temps, Morgane se plaça bien en évidence devant lui, et lui donna une précieuse information. Ah ! C'est parce qu'ils avaient fait du souk en classe... Rien que ça ? Bref, Barnton croise ses doigts, son nez touchant presque celui de son élève brune. Il la toisa, et dit, nonchalant, en articulant soigneusement :

- Oui. Il va falloir que je réfléchisse à une sanction... D'ailleurs, Stevens, vous ne m'avez toujours pas rendu mes dix lignes sur le type de bleu... Si cela ne m'est pas remis demain à la première heure, je crains que je ne doive vous sanctionner... amèrement.

Puis, Willy fit signe à la Gryffondor de se mettre hors de sa vue, et lorsqu'elle se fut poussée, il s'adressa à Flint.

- Quant à vous, jeune garnement, je vous attends ce soir pour votre dernière retenue de la semaine. Vous avez de la chance... Mais, juste pour vous taquiner, j'oserais vous donnez plus de travail que d'habitude, bien sur.

Willy sourit. Eh bien, il s'était repris, et avait bien assuré, non ?

Je l'ai justement avec moi...tenez professeur

Je posais bien en évidence mon devoir

J'espère que toutes ses heures a la bibliothèque me rapporteront une bonne note...

Willy regarda avec étonnement la stupide Gryffondor déposer son devoir juste sur son bureau, où il pouvait compter bien plus que dix lignes... Sans comprendre pourquoi - probablement son humiliation - une rage inhumaine s'anima en lui. Il commença à s'énerver, donnant des coups de pieds sur ses affaires tassées par terre. Il donna des poings aux miroirs des placards, brisant ainsi les nombreux choses en verres se trouvant à l'intérieur. Une fois sa colère passée, il lança un regard noir à ses deux "invités", haletant, qui signifiait sans aucun doute : déguerpissez avant que vous ne subissiez le même sort" !

[Morgane, tu ne m'as toujours pas rendu le devoir sur les dix lignes !!]

[Peu après... (Suite du RPG avec Armondo dans les couloirs)]

Justin et Armondo était arrivé aux Sous-sols. Le Serpy se posta devant la porte du bureau du professeur de potions, et inspira un grand coup. Normalement, à cette heure-là, le professeur était en cours, alors autant en profiter... Le jeune garçon se tourna vers son meilleur ami, la main sur la poignée, prêt à ouvrir.

- Alors, vieux ? Prêt pour le grand saut ?dit-il en souriant.

- Ohh, que oui mec !

Je pris une très grande inspiration et entra avec Justin dans le bureau de De Barton.

-Alors ou elle est ?

Justin sourit à l'approbation de son meilleur ami. Puis, prenant tout les deux une très grande inspiration, ils ouvrirent la porte lentement et pénètrèrent à l'intérieur du bureau le plus sombre et glauque de la plantète.
Armondo demanda où se trouvait la Pensine de leur terrible Professeur, ce à quoi Justin répondit en un haussement d'épaules. Il n'en savait pas plus que le Gryffy. Alors ils se mirent à chercher et fouillèrent de fond en comble la pièce.

Au bout d'un moment, découragé, Justin s'accouda contre une étagère appuyée contre un mur. Il se tourna vers ses vitres, admirant son reflet, quand tout d'un coup il remarqua la petite bascine remplie d'eau utilisée généralement comme Pensine. Aussitôt, le Serpy s'exclama :

- Armondo ! Regarde ce que j'ai trouvé !

L'appelé s'approcha, et tout les deux tentèrent d'ouvrir l'étagère fermée à clé. Justin eut soudain une idée.

- Recule Armondo, tu risques d'avoir mal si tu restes à côté de moi, prévint le blond.

Une fois que le Gryffy se fut poussé, Justin prit de l'élan, ferma son poing... avant d'éclater la vitre. Des millions de petits éclats de verre virevoltèrent avant de tomber à terre. Fier de lui, le Serpy sourit à son ami, avant de s'avancer lentement vers la bascine. Lentement et délicatement, il la prit et la posa sur le bureau. Puis, Armondo se mit en face de lui. Et au bout de trois, ils plongèrent leurs têtes enmême temps, et eurent accès à tout les souvenirs de leur mystérieux professeur...

Ils arrivèrent tout d'abord dans une salle joliment décorée. Surpris, les deux amis se regardèrent, avant d'entendre soudain des voix. Ils entrouvrirent une porte silencieusement, et regardèrent qui se trouvait de l'autre côté. Il y avait un homme de trente ans, qui ressemblait étrangement à De Barnton. Il y avait aussi un autre homme plus vieux dont la tête ressemblait en tout points à celle d'Alice. Mais ce qui était le plus étrange, c'était les deux adolescents cachés derrière le canapé luxueux. Et un, avec deux têtes en moins et des membres fébriles, ressemblait traits pour traits à Willy De Barnton !!! Justin jeta un coup d'oeil à Armondo. Ce dernier avait dû remarquer lui aussi le professeur, vu sa tête. Soudain, le plus jeune homme prit la parole.

- Dionys, il faut faire quelque chose pour Willy. Vous savez aussi bien que moi qu'il sera très déterminant pour l'avenir des Mangemorts... Surtout depuis que Lord Voldemort est mort, c'est-à-dire l'année dernière. Malheureusement, mon neveu ne semble pas très enclin à vouloir rejoindre nos rangs...

Le plus vieux, qui se nommait apparemment Dionys, fit une grimace agacée.

- Je le sais. Et pour cela, un maheureux accident pourrait intervenir à tout instant à ton frère, William. Et si en plus le cher meilleur ami de Willy l'obligeait et le faisait croire que son père est mort en tant qu'héros pour les Mangemorts, cela ne fera que l'obliger. Qu'en penses-tu, William ?

- Cela me semble parfait comme plan. Franchement très bien trouvé, Dionys. J'ose espérer que votre fille sera elle aussi influençable... conclut le dénommé William sur un ton empreint de défi.

Puis, il disparut. Dionys se releva de son sofa, soupira, puis sortit de la salle. Justin aperçut alors le jeune Willy se relever de sa cachette. Ses jambes tremblaient, et son ami ne semblait pas en meilleur état.

- Tu as entendu, Willy ? Ton oncle et cet horrible inconnu vont tuer ton père !! s'écria l'autre adolescent.

Willy inspira un grand coup, et les larmes aux yeux, finit par dire :

- Oui j'ai entendu, Nathan. Et comme je ne peux rien faire, le seul moyen de changer l'avenir est de...

Les deux intrus ne purent entendre la suite, car tout d'un coup, ils furent comme aspirés. Justin comprit alors pourquoi ils n'avaient pas pu assister à tout le souvenir... La réponse était un professeur de potions très énervé !

Oh non, pas lui... pensa alors le Serpy, mort de peur...

Nous rentrons finalement dans cette salle. Qu'est-ce qu'elle puait ! Maintenant je comprends pourquoi De Barnton a cette odeur si... Horripilante. Il passe toutes ses journées dans une pièce qui schlingue !! Je ne savais pas où mettre les pieds c'était le bazar absolu ! Rien a faire nous ne trouvions point la pensine dans tout ce fracas. Quand soudain, j'ai entendu Justin crier :

- Armondo ! Regarde ce que j'ai trouvé !

Je me suis tourné vers lui, surpris. Nous avons éssayé d'ouvrir l'étagère mais nous n'avons pas pu réussir à l'ouvrir parce qu'elle était fermée à clé. J'en avais marre mais soudain Justin à eu une idée lumineuse. Il m'a dit de reculer, ce que j'ai fait, et je l'ai vu explosée la vitre avec un bon coup de poing. Je me protégeais des morceaux de verre tout en m'écriant :

- Wouah Justin trop fort !

Il a pris délicatement la pensine et l'a posé sur le bureau. Je me suis mis en face de lui, et il a compté jusqu'à trois. Puis, j'ai plongé ma tête dans la bascine remplie d'eau et de souvenirs...

Nous avons atteris dans une pièce très belle, je pensais aussitôt que mon professeur devait être riche pour posséder de tels meubles ! Je n'arrivai pas à le croire, parce qu'il avait l'air très pauvre en réalité (surtout vu l'état de son bureau puant...). Je regardai Justin, qui ouvrait doucement une porte. J'ai alors entendu des voix. Dans la pièce d'à côté se trouvait un homme âgé d'environ quarante ans qui ressemblait à l'ancienne nouvelle, la blonde aux yeux verts. Mince ! Je ne me souvenais plus de son prénom ! Il faut dire que je ne lui ai jamais parlé... Je vis alors un autre homme assis qui ressemblait beaucoup à De Barnton. Ce type devait être son frère, c'est pas possible de lui ressembler autant ! J'ai alors entendu un drôle de bruit. Et c'est là que j'ai remarqué deux adolescents de dix ans à peu près, cachés derrière un sofa. Et... Oh mon dieu ! En y regardant de plus près, je m'aperçus qu'un des deux garçons était en réalité De Barnton mais en plus jeune !! Choqué, je jetais un coup d'oeil à Justin qui semblait être dans le même état que moi.
Soudain, celui qui ressemblait à De Barnton a pris la parole.

- Dionys, il faut faire quelque chose pour Willy. Vous savez aussi bien que moi qu'il sera très déterminant pour l'avenir des Mangemorts... Surtout depuis que Lord Voldemort est mort, c'est-à-dire l'année dernière. Malheureusement, mon neveu ne semble pas très enclin à vouloir rejoindre nos rangs...

Je fus très surpris. Willy rejoindre les mangemorts ?! Je compris alors que ce souvenir se passait il ya dix-huit ans. Quelle surprise ! Celui qui s'appelait Dionys (et qui avait la tête à l'ancienne nouvelle) grimaça.

- Je le sais. Et pour cela, un maheureux accident pourrait intervenir à tout instant à ton frère, William. Et si en plus le cher meilleur ami de Willy l'obligeait et le faisait croire que son père est mort en tant qu'héros pour les Mangemorts, cela ne fera que l'obliger. Qu'en penses-tu, William ?

Mais cet homme est fou ! Il veut tuer le père de De Barnton ! Maintenant je comprends pourquoi il est si sévère... pensai-je bien malgré moi. Le dénommé William répondit.

- Cela me semble parfait comme plan. Franchement très bien trouvé, Dionys. J'ose espérer que votre fille sera elle aussi influençable...

Je fus très choqué. L'ancienne nouvelle est la fille d'un Mangemort !!! Je comprends pourquoi elle a l'air si folle... J'informerai Agnès au dîner, je n'ai pas envie que ma soeur soit son amie, et encore moins qu'elle devienne Mangemort par sa faute ! Tout d'un coup, William se leva et disparut. Pendant ce temps, Dionys soupira, et partit de la salle. Je me sentais beaucoup mieux maintenant aue ces deux Mangemorts n'étaient plus là ! Soudain, les deux adolescents sont sortis de leur cachette. Les deux enfants tremblaient tellement que leur voix étaient agitées. J'avais l'impréssion que le Willy pleurait. Il était au bord des larmes.

- Tu as entendu, Willy ? Ton oncle et cet horrible inconnu vont tuer ton père !!

- Oui j'ai entendu, Nathan. Et comme je ne peux rien faire, le seul moyen de changer l'avenir est de...

Et au moment où Willy allait révéler son giga plan, j'ai senti qu'on me tirait en arrière. Mais que se passait-il ?! Je me suis alors retrouvé devant un professeur de potions très très très fâché. Oh non, on était bons pour la prison...

- Espèces de...! avait été la première chose qu'avait dit le jeune professeur en voyant deux de ses élèves les plus turbulents dans son bureau.

Et lorsqu'il remarqua que leurs têtes étaient plongés sa Pensine, Willy crut qu'il allait faire une crise. Comment osaient-ils ?! Ils n'avaient pas froid aux yeux ces deux garçons pour oser un tel acte empreint d'audace !! Le professeur de potions fonça vers eux et arracha leurs têtes des souvenirs dans lesquels ils étaient obligés. De Barnton tremblait de rage. Il n'arrivait pas à imaginer une sanction digne de ce nom, diable que lui arrivait-il ?!
Il comprit alors que c'était la première fois qu'on osait l'humilier ainsi. Surtout lorsqu'il n'avait pas le fin mot de l'histoire. Cette sensation ne fit que tripler sa rage. Il tordit les oreilles des deux imprudents, et les tira vers lui. Il sortit du bureau saccagé les oreilles de ses deux élèves dans la main.

- Puisque ce sont les problèmes que vous cherchez, alors vous les aurez !!! cracha-t-il méchamment, tandis qu'il se dirigeait vers le bureau de la directrice.

-Non mais vous me lâchez oui ? J'en ai marre ! Lâchez nos bottes !

Me débattant je réssuis enfin à partir de sa main puante elle puait vraiment ! Je lui donnait cinq coup de poing dans la face, sept coup de pied à une vitesse phénoménale. Je pris la main de Justin et partit avec lui. J'ai tiré la langue à De Barton.

-On se casse !

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