La beauté du parc

-Bon, d'accord.

Je vais trouvé une autre cavalière puisque tu ne veux pas venir avec moi et Justin a dit de ne

pas m'occuper de toi et Agnès.

Je parti le cœur triste.

Je me mis à pleurer, oubliant le maquillage, et je m'enfuis en courant, bousculant Armondo, dépassant Agnès et je filais tout droit vers les toilettes des filles

-Morgane je voudrais te dire une dèrnière chose:Adieu.

Je parti en pleurant en direction des toilettes des garçons.

Agnès pleurait toujours, quand elle remarqua des bruits de rires. Elle soupira, ce devait probablement être les trois autres qui se moquaient d'elle. Elle ignora les bruits, puis se renferma dans sa bulle protectrice.

-Agnès ou est Morgane?

Agnès?

Ou est u?

[Another day]

Je pleurais, j'en avais assez que tout le monde décide pour moi. J'en voulais à tout le monde, et surtout à Armondo. Je m'asseyais sur un banc, la cage de la chouette sur les genoux, et je laissais la tristesse m'envahir

Je marchais et j'était super triste j'en avais beaucoup à tout le monde et certainement à

Morgane.

-OH LA LA!!

TOUT CE QUE disais était du n'importe quoi!

SURTOUT avec l'extratersetre c'était du n'importe quoi!

J'en n'ai marre!

Bon, remet toi en place, et fais comme si tout allais bien.

Relaxe!

Tout va bien se passer!

Ouh!

Ah!

Cest bon!

Maintenant, tout se passe bien!

Je regardais Armondo, la haine avait pris la place de la tristesse

Moi je ne suis pas comme toi, et là j'avais envie d'être seule tu comprends ? Alors lâche moi !!

Je me suis levée et je commençais à partir

-Tu vas partir?

Si tu veux rejoindre t'as p'tite famille chérie et ben vas'y!

Et toi t'es chiante et je déteste vraiment!

PFFFFFFFF!!!!!!!!

Je commençais à partir moi aussi.

JE ME DEMANDE COMMENT J'AI PU TOMBER AMOUREUSE DE TOI !!!!!

Et je suis partie

-C'est normal tu es tellement idiote que tu es tomber amoureuse de moi.

Oh la la!

En entendant ça, je me suis retournée, je suis revenue vers lui et je l'ai giflée de toutes mes forces

-Tu m'as gifflé?

Tu vas voir ce que tu vas voir maintenant.

J'ai fais la même chose à Morgane que ce que j'ai fais à Justin.

Quand Armondo me frappa, j'ai titubé et je suis tombée. Ma tête a heurté quelque chose de dur, sûrement un rocher, et j'ai perdu connaissance. Mais avant de m'évanouir, j'ai sentie une odeur. L'odeur du sang...

-Enfin c'est elle qui a perdu connaissance!

Ça faisait lomgtemps!

Je crois que je saignais...Mais comme j'étais évanouie, je n'en savait rien

Je faisais en cachette et je porta Morgane j'usqua l'infirmerie.

[Quelques heures plus tard...]

Justin se dirigeait vers un endroit calme et désert, tentant de trouver un endroit pour cacher quelques affaires... Au bout d'une demi-heure, il trouva une parfaite cachette. Elle était derrière un épais buisson épineux, et se trouvait à l'intérieur d'un trou. Alors, n'hésitant plus, le Serpy cacha les boites et les poudres à l'intérieur, et s'enfuit du parc tranquillement, comme si de rien n'était.

[Quelque jours plus tard...]

Agnès était enfin arrivé au Parc. Humant l'air parfumée avec délectation, elle se laissa envahir par le vent qui soufflait doucement. Elle alla près du Lac, où elle s'assit les pieds dans l'eau (ayant au préalable monté son jean) en-dessous d'un grand saule pleureur, comme le jour de la rentrée... Elle ferma les yeux, et s'étendit dans l'herbe. Pour une fois que personne ne passait par là !

Une fois arrivée au parc, je me suis assise à l'ombre d'un chêne, et j'ai commencée à écrire. Tout ce que je ressentais en ce moment. Mes rires, mes larmes, mes doutes et mes peurs

Mais si je partais, qui se ferait du souci pour moi au point de m'empêcher de partir ? Personne bien entendu ! Je suis invisible ici...et je suis tout aussi inutile...

Agnès commença lentement à sombrer, ne pouvant s'empêcher de remarquer à quel point cela faisait des jours qu'elle n'avait pas dormi... Sauf que le bonheur est trop éphémère pour le savourer. Un chat lécha le visage de la jeune fille qui ouvrit subitement les yeux, et se releva à moitié. Elle faillit hurler au vol, et se rendit soudain compte que c'était le chat de Morgane ! Pardon, c'était le chat de Morgane. Agnès sourit faiblement et caressa le chat distraitement, heureuse qu'il ne lui fasse plus une des ces farces !

Je m'ennuyais. Je voyais Agnès au loin , ais j'hésitais à aller la voir, de peur de me faire rembarrer. Je continuais à écrire, quand soudain, une brusque coup de vent fit s'envoler ma feuille

Non !! Reviens !

Abandonnant mes affaires, je me suis mise à lui courir après

Agnès entendit soudain un cri d'exclamation, avant de voir... Morgane ?! Elle courrait après une feuille de papier ! Agnès ouvrit de grands yeux, pour finalement hausser les épaules. Elle leva sa main pour caresser le chat, et... caressa du vide. En effet, le chat, attiré par la feuille venait de se mettre à lui courir après !

- Reviens, petit chat ! Il ne faut pas se mêler des affaires des autres ! s'exclama la jeune fille.

S'entama alors une course-poursuite effréné.

Je courrais contre ma feuille, sans vraiment savoir où j'allais. Soudain, mes pieds se prirent dans quelque chose, probablement une racine, et je m'étalais de tout mon long sur le sol

Hé ben, c'est pas gagné...

Je vis ma feuille se loger en haut de l'arbre le plus proche. Je me relevai et m’apprêtais à sortir ma baguette. j'avais mal aux genoux et aux chevilles

Agnès vit le chat monter sur un arbre, et prendre la feuille de Morgane dans ses dents bien aiguisés. Le problème, c'est qu'il ne pouvait plus descendre ! Alors, ça, c'était la cata ! La Serpy soupira. Pourquoi diable les animaux étaient-ils attirés par tout ce qui bouge ? Maintenant, il allait falloir qu'elle escalade l'arbre pour récupérer le chat...!

Rassemblant son courage à deux mains, Agnès mit son pied sur une branche assez basse, et grimpa dessus. Une fois debout sur cette branche, elle agrippa la suivante, en faisant très attention à où elle mettait les pieds. Heureusement, le chat n'était pas allé très haut ! La jeune fille arriva enfin à la grosse branche où se trouvait son petit félin. Elle s'empêcha de regarder en bas, et dit tout bas, en tendant la main :

- Viens, mon minou. N'aie pas peur, rien ne va t'arriver. Tout doux...

Au bout de plusieurs minutes, le chat esquissa un pas, mais pas très rassuré, il ne s'approcha pas plus.